Dans l’affaire Grégory, la justice a accepté, mercredi 27 janvier, des nouvelles expertises ADN.
Ce qui, plus de 36 ans après l’assassinat de l’enfant, a permis de relancer l’enquête sur cette affaire de meurtre non encore élucidée.
Christine et Jean-Marie Villemin sont déterminés à connaitre la vérité sur le meurtre de leur fils.
La requête des parents, d’entreprendre des nouvelles expertises ADN dans l’affaire Grégory pour tenter d’élucider ce meurtre, a été autorisée par la justice, ce mercerdi.
L’enquête sur l’assassinat du petit Grégory Villemin, découvert mort le 16 octobre 1984 dans la Vologne, à Docelles (Vosges), est donc relancée.
« La cour d’appel a fait droit à la quasi-totalité des demandes de nouvelles recherches »
Depuis 1987, le dossier sur l’affaire Grégory est instruit à la Cour d’appel de Dijon, dont la chambre d’instruction a donné une réponse favorable à la requête des parents pour des nouvelles expertises génétiques.
L’un des avocats du couple Villemin, Me François Saint-Pierre, a tenu à indiquer que : « La cour d’appel a fait droit à la quasi-totalité des demandes de nouvelles recherches, notamment en matière de parentèle », rapporte LCI.
Une recherche d’ »ADN de parentèle »
Les parents de la victime ont notamment exigé une recherche d’ »ADN de parentèle ».
Cette méthode consiste à comparer une empreinte génétique avec d’autres qui sont susceptibles d’être issues de la même parenté.
La même méthode a déjà abouti à des résultats décisifs dans des affaires criminelles, comme celle en 2012 concernant le dossier Élodie Kulik, qui a été violée et assassinée dix ans avant la réouverture de l’enquête s’y rapportant.
Source : linfo.re
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